Régime végan ou végétarien: 6 erreurs à éviter

regime vegan ou vegetarien 6 erreurs a eviter

Le régime vegan (ou régime végétalien) est un mode alimentaire de plus en plus en vogue en France et dans d’autres pays ( Etats-unis, Canada …). Il est adopté par idéologie, effet de mode ou « raison de santé » par les personnes végétaliennes ou « vegans » qui adoptent ce choix de vie qui refuse toute exploitation ou maltraitance des animaux.

Déclinaison plus stricte du régime végétarien, le régime vegan consiste à supprimer la consommation mais aussi l’utilisation de tous produits issus de l’exploitation des animaux. Soucieux du bien-être et de la bonne santé des humains, des animaux et de l’environnement, les « vegans » chassent (au sens figuré !) donc de leur quotidien les viandes et poissons, les laitages, les œufs mais aussi la fourrure, la soie, le miel, le cuir et même les cosmétiques testés sur des animaux. Le régime végétarien lui exclut le poisson et la viande, mais les œufs et produits laitiers sont consommés régulièrement.

En fonction des endroits et des individus, on trouve des variantes du régime végétarien : les ovo-lacto-végétariens qui incluent œufs et produits laitiers dans leur alimentation, les lacto-végétariens qui consomment des produits laitiers mais excluent les œufs, les pesco-végétariens qui mangent des poissons et fruits de mer en excluant toutes les viandes.

 

 

Le régime végétarien a une connotation plutôt positive concernant la santé, qu’en est-il réellement ?

Les régimes vegan ou végétarien sont-ils bons pour la santé ? Est-il sans danger de le pratiquer ce genre de régime tout seul dans son coin ?

Je tenterai dans cet article d’apporter les réponses en apportant de l’objectivité.

 

Le mode de vie du végétarien semble positif pour la santé.

 

Des études ont montré que les végétariens n’ont pas une meilleure espérance de vie que les non-végétariens qui ont le même mode de vie. Ce sont les éléments du mode de vie qui semblent protéger les végétariens par rapport à la population générale et pas vraiment son alimentation. En effet, l’individu végétarien a bien souvent un comportement plus « sain » concernant sa santé : moins de tabac, plus d’activité physique régulière, maintien d’un poids de forme etc ..

D’autres résultats tendent à montrer, des bienfaits du régime végétarien : amélioration des chiffres de tension artérielle, meilleure régulation de la glycémie ( taux de sucres dans le sang), meilleur contrôle de la corpulence (Indice de masse corporelle plus bas), hausse du bon cholestérol.

Après tout, rien d’étonnant, on sait que la régime méditerranéen (faible consommation de viande, et riche en fruits et légumes) prolonge la vie et améliore la qualité de vie : c’est finalement un régime végétarien avec peu de viandes.

 

Le régime vegan ne semble pas présenter d’intérêt sur le plan médical, et ne semble pas adapter à notre métabolisme. Il nécessite d’être accompagné par un professionnel au départ (médecin, nutritionniste etc.) afin d’éviter de tomber dans certains pièges concernant votre santé.

 

 

Les dangers du régime végétarien ou du régime vegan :

 

Le risque provient de l’exclusion de certains aliments pouvant être à l’origine de carences, d’effets négatifs sur l’organisme :

 

Les ovo-lacto-végétariens, très nombreux dans les pays occidentalisés, ainsi que les pesco-végétariens sont à faible risque de carence. Les végétaliens ou pratiquants du régime vegan, présentent eux plus de risque de carences multiples (protéines, fer, zinc, vitamine B12, vitamine D, acides gras omega-3) :

 

1-évitez la carence en omega-3 : si l’on ne mange plus de poissons, on réduit fortement ses apports en acides gras omega-3 qui sont reconnus pour leur rôle protecteur sur notre santé : protection cardiovasculaire (baisse du risque d’obstruction des artères et meilleure contractilié du muscle cardiaque), ralentissement du vieillissement cérébral, baisse du taux de triglycérides dans le sang, effet anti-inflammatoire, prévention de l’obésité (réduction de la prolifération des cellules graisseuses).

Les personnes fragiles comme les enfants, les bébés, les femmes enceintes, les personnes âgées, cardiaques etc.. ne doivent pas être déficitaires en oméga-3.

Il existe d’autres sources d’oméga-3 même s’il est consensuellement reconnu que le poisson est l’aliment santé par excellence. Si l’on exclut le poisson (végétarien ou régime vegan), il faut trouver d’autres sources d’oméga-3 : les œufs en contiennent un peu, certains végétaux (graines de lin, graines de chia, noix) en sont riches, mais la transformation en EPA et DHA est faible. Les algues peuvent en apporter. Les huiles végétales riches en oméga-3 devront être utilisées (huile de colza, huile de noix).

La consommation de certains polyphénols semblerait favoriser la synthèse d’oméga-3 « marins » sans manger de poisson : les fruits noirs, les raisins, le vin rouge (anthocyanines), les céréales (acide férulique), le seigle (polyphénols) sont des solutions possibles. Les études sont en cours.

 

2-évitez la carence en iode, sélénium, vitamine D, et certaines protéines : un dosage en vitamine D veillera à l’absence de carence.

Pour l’iode, l’apport baisse si l’on ne consomme pas de poisson, mais le sel courant contient de l’iode (il est enrichi en iode), donc concrètement, on manque rarement d’iode.

Pour la vitamine D, chez les végétaliens et certains végétariens ou omnivores, une supplémentation en vitamine D devra être envisagée dans les régions du nord, en hiver (lorsque l’ensoleillement est faible), ou lorsqu’on passe sa journée sans voir le soleil.  En effet, 80% de notre apport en vitamine D est assurée par la peau avec notre exposition au soleil. Une exposition de 10 à 15 min par jour suffira à fabriquer de la vitamine D. Côté alimentation, on trouve la vitamine D dans les poissons, le lait, les œufs, le beurre, les yaourts, les champignons (girolles, morilles).

 

3-évitez la carence en vitamine B12 : des compléments de vitamine B12 seront à prévoir avec votre médecin, surtout si vous êtes végétalien strict, en particulier en cas de pathologie gastrique associée ou d’un âge avancé. Le risque de carence en vitamine B12 est majeur en cas d’exclusion complète des aliments d’origine animale. Les végétaux ne contiennent que des analogues de la vitamine B12 qui ne suffisent pas à assurer l’apport quotidien si vous avez un régime végan « strict ». Une supplémentation en vitamine B12 est alors nécessaire. Les œufs et le fromage contiennent un peu de vitamine B12.

regime vegan ou vegetarien

4-éviter la carence en fer : assez fréquente dans le régime vegan car le fer d’origine végétal est moins bien absorbé que le fer d’origine animal. Un bilan sanguin recherchera un éventuel déficit. Il faut s’orienter vers les aliments riches en fer. Les sources végétales de fer sont le sésame, les légumes verts, le cacao, le fromage, le tofu etc.

 

5-éviter la carence en calcium : assez rare, les végétaux contiennent du calcium. Le tofu, le lait de soja (enrichi en calcium), les amandes, les noix, les noisettes, le brocolis, le chou, les fruits secs en contiennent.

 

6-éviter l’excès de pesticides : si on consomme que du végétal, il est préférable de consommer du végétal avec le moins possible de pesticides donc mangez du « bio » de préférence.

 

 

Les végétariens ou vegans ont en général, un mode de vie plutôt « prudent » ou « sain » et les études prouvent surtout pour l’instant que c’est le mode de vie associé au végétarisme qui a un intérêt bénéfique pour la santé (niveau social élévé, absence de consommation d’alcool en excès, activité physique régulière, absence de tabagisme…).

De nombreuses carences liées au régime vegan (végétalien) ou au régime végétarien  peuvent se développer et sont à anticiper en s’informant ou en parlant avec son médecin ou son nutritionniste.

 

Les tendances des végétariens actuels sont à la réduction de la consommation de viande, et à l’augmentation de la consommation de fruits, de légumes, de légumes secs, d’oléagineux. Tous ces points rapprochent le régime végétarien vers le régime méditerranéen qui on le sait a fait ses preuves pour augmenter la longévité de ses adeptes.

 

 

Les bienfaits de l’huile d’olive : 4 secrets bien gardés

les bienfaits de l'huile d'olive

Tout le monde ou presque connaît les bienfaits de l’huile d’olive, huile de base des pays du bassin méditerranéen. Pourtant les chiffres sont là pour nous rappeler que nous avons tendance à l’oublier ou à trop peu l’utiliser.

L’huile d’olive est l’un des piliers du régime méditerranéen (ou crétois) bien connu pour faire vivre les populations plus longtemps et en meilleur santé, avec moins d’atteinte cardiovasculaire, et une meilleure conservation des capacités cognitives.

C’est l’aliment star de ce régime, un peu comme une potion magique pour garder les gens en bonne santé. Dans le régime méditarranéen, l’huile d’olive est utilisée pour tout, les sauces de salades, la cuisson, l’apéritif, les desserts, les soupes ou encore les fromages.

Avant de vous dévoiler tous les bienfaits de l’huile d’olive, faisons un petit tout d’horizon de ses composants capables de nous faire vivre plus longtemps et d’améliorer notre santé .  Agissant chacun sur une sphère du corps, les acides gras monoinsaturés (oméga-9), acides gras polyinsaturés (oméga-6), vitamine E, polyphénols et autres antioxydants, sont les acteurs principaux d’une santé positive par l’huile d’olive.

 

Quels sont les bienfaits de l’huile d’olive ?

 

-1-Les bienfaits de l’huile d’olive : cette huile assure une protection cardiovasculaire 

 

La composition en acides gras de l’huile d’olive est unique parmi toutes les huiles.

L’huile d’olive apporte peu de graisses saturées, mais beaucoup de graisses mono-insaturées (Oméga-9).  70% des lipides de l’huile d’olive sont des oméga-9 !

Les Oméga-9 jouent un rôle dans la composition des cellules du corps (y compris dans le cerveau) et augmentent le bon cholestérol (HDL cholestérol). Sa consommation régulière est efficace dans la prévention des maladies cardio-vasculaires.

 

– 2 Les bienfaits de l’huile d’olive: réduction des graisses saturées

 

On entend beaucoup parler des graisses saturées contenues dans la malbouffe qui seraient responsables de tous nos problèmes cardiovasculaires  (infarctus, accidents vasculaires cérébrales etc.). Les graisses saturées sont utiles si elles ne dépassent pas 8% de notre apport total énergétique. En excès, les graisses saturées sont néfastes pour la santé, elles augmentent de 10-15% le risque cardiovasculaire. (Le tabagisme et la graisse du ventre majore de 300% ce risque).

Il ne faut pas bannir toutes les graisses, cela n’a aucun sens. Retirer tous les aliments « plaisir » ne ferait que majorer la frustration du gourmand.

C’est un des bienfaits de l’huile d’olive : elle apporte très peu graisses saturées et de graisses polyinsaturées (oméga-6), c’est exactement ce qu’il faut pour la santé !

les bienfaits de l'huile d'olive

-3- Les bienfaits de l’huile d’olive : l’huile d’olive s’intègre dans un mode alimentaire « sain »

 

L’huile d’olive s’intègre dans le mode d’alimentation méditerranéen : ce régime rassemble tout ce qu’il y a de meilleur pour l’organisme : consommation importante de légumes secs (lentilles, haricots blancs, pois chiches …), de légumes (tomates, pourpier..), d’oléagineux (amandes,noix …),  de l’huile d’olive, des herbes aromatiques, des oignons, consommation modérée de poisson, de fromage (féta, mozzarella) et de vin rouge, une faible consommation de viande. Vous avez ici une excellente combinaison de protéines végétales et animales, d’oméga 3,6,et 9, d’oligoéléments, de vitamines, de minéraux, d’antioxydants.

 

-4- Les bienfaits de l’huile d’olive : action antioxydante de l’huile d’olive ?

 

L’huile d’olive a ses adeptes pour son goût extraordinaire. Les meilleures huiles d’olive viennent d’Espagne, de Crète, d’Italie.

Ce n’est pas encore démontré, mais on a tendance à prêter à une petite fraction de l’huile d’olive vierge, un pouvoir antioxydant. Cette portion infime contient des polyphénols, des tocophérols (vitamine E), des caroténoïdes etc. Ses éléments seraient un argument supplémentaire du rôle de l’huile d’olive pour la prévention cardiovasculaire. On sait que la Vitamine E a un action antioxydante qui s’oppose à l’oxydation et au dépôt de LDL cholestérol dans les artères. La vitamine E semble jouer un rôle intéressant dans le vieillissement. Les polyphénols de l’huile d’olive sont antioxydants, anti-inflammatoires et protègent les cellules contre le stress, semblent aussi avoir un rôle dans le contrôle du métabolisme des sucres. Des études sont en cours.

 

L’huile d’olive a ses adeptes pour son goût extraordinaire. Les meilleures huiles d’olive viennent d’Espagne, de Crète, d’Italie. Il faut choisir des « huiles d’olive vierge », car l’huile vient du fruit d’olivier qui n’a pas subi de traitement autre que le lavage, décantation, centrifugation et filtration.

Pour contenir les polyphénols, l’huile d’olive doit être vierge et de première pression à froid.

 

 

 

La bonne dose d’huile par jour : ne pas dépasser 2 cuillères à soupe (soit 20-25g) par personne pour un adulte.

 

Les bienfaits de l’huile d’olive sont nombreux mais il y a un seul bémol c’est qu’elle ne contient presque pas d’oméga-3. On peut combler cet apport d’oméga-3 par des aliments riches en oméga-3 : les poissons gras, les noix, les noisettes, les amandes…ou par de l’huile de colza (riche en oméga-3). La solution consiste à varier les 2 huiles : l’huile d’olive et l’huile de colza.

 

 

Oubliez un peu le beurre et les huiles de tournesol. L’huile de tournesol ne doit être utilisée que de temps en temps. Pensez à utiliser d’autres sources de matières grasses. Associez l’huile d’olive et l’huile de colza pour l’huile de tous les jours. Variez les huiles d’assaisonnement est une excellente astuce pour votre santé. D’autres huiles sont intéressantes par exemple l’huile de noix ou l’huile de noisette mais elles doivent être consommées ponctuellement pour certaines recettes.

 

Adoptez le mode alimentaire méditerranéen et utilisez les bienfaits de l’huile d’olive comme les méditerranéens sont des bonnes stratégies pour votre santé.

Aliments laxatifs: 10 solutions naturelles contre la constipation

aliments laxatifs

 

Les aliments laxatifs sont une aide précieuse pour toute personne qui présente un problème de transit trop lent ou de constipation rebelle. Ils ont l’air totalement inutiles quand tout va bien, mais une fois qu’on est atteint par une crise aiguë de constipation, on ne rêve que d’en avoir un ou mieux, quelques-uns sous la main. La constipation résulte dans la majeure partie des cas de mauvaises habitudes alimentaires. Et de nos jours, hélas, elles sont de plus en plus courantes. Vous allez découvrir le plan d’action naturelle pour vaincre la constipation sans médicament.

Pourquoi sommes-nous  parfois constipés ?

 

Les origines de la constipation sont nombreuses : des maladies, des médicaments, une mauvaise alimentation, une mauvaise hygiène de vie. Les deux dernières options sont de plus en plus fréquentes de nos jours, et sont celles sur lesquelles on peut agir. Notre comportement de tous les jours est en cause: on mange très vite et on ne mange pas certains aliments très utiles pour l’intestin. On estime trop souvent ne pas avoir le temps de manger certains aliments. Il est par exemple essentiel de ne pas repousser à plus tard l’envie d’aller à la selle : ce besoin d’aller aux toilettes ne dure quelques minutes et peut ne revenir que quelques heures plus tard, et être source de constipation.

Il faut donc commencer par prendre le temps de vivre, de manger, et d’aller aux toilettes. Cela peut paraître un peu simplet, mais il ne faut pas oublier l’essentiel, la priorité, votre santé.

On considère également qu’il est inutile de prendre le temps de mâcher calmement les aliments qu’on mange. Nos ancêtres déjeunaient et dînaient pendant environ une heure. Ils prenaient également le temps de consommer plusieurs types de mets. De nos jours, après avoir avalé au pas de course un sandwich, on pense avoir « déjeuné ». Il n’est donc pas surprenant que de plus en plus de personnes souffrent de constipation.

 

Est-il possible d’éviter la constipation ?

 

Oui ! Et les mesures à prendre n’ont rien de drastique. Il faut d’abord prendre le temps de manger, de s’assoir pendant le repas, de bien s’hydrater à table et le reste de la journée, manger des légumes, des fruits, marcher, faire du sport. Je suis régulièrement étonné de dire aux personnes pendant mes consultations de « boire de l’eau », c’est un besoin vital fondamental mais trop souvent oublié. L’eau est bue en quantité trop faible, et parfois remplacée par des boissons sucrées (sodas, sirop ) et de l’alcool (vins, bières etc).

 

Ainsi, si vous voulez éviter tous les désagréments liés à la constipation, introduisez des aliments laxatifs dans votre alimentation. Ils seront vos meilleurs alliés pour lutter contre la constipation. Mais quels sont les meilleurs aliments laxatifs ?

Aliments laxatifs : des remèdes naturels idéaux contre la constipation

 

 

Quand on recherche un effet laxatif avec des aliments, il faut s’orienter vers les aliments riches en fibres.

En cas de constipation, vous pourrez augmenter progressivement vos apports en fibres sur 8 jours.

Il existe deux catégories de fibres alimentaires : les fibres « solubles » et les fibres « insolubles ». Les 2 familles de fibres peuvent être augmentées en cas de constipation.

Les fibres « solubles » jouent un rôle pour prévenir la constipation en formant un tapis de gel visqueux au contact de l’eau. Elles sont toutefois moins stimulantes que les fibres insolubles pour le transit.

Les fibres solubles peuvent parfois donner des flatulences ou ballonnements, elles activent le processus de fermentation du côlon.

Les fibres solubles ont également un rôle intéressant car elles tendent à réduire le mauvais cholestérol et les triglycérides (rôle protecteur au niveau cardiovasculaire) . Elles aident à réduire le taux de sucres dans le sang, en ralentissant la digestion des glucides.

Elles sont conseillées pour les personnes ayant un intestin « irritable » (ou colopathie fonctionnelle).

Les fibres « insolubles » permettent de lutter contre la constipation. Elles stimulent les contractions intestinales, et augmentent le volume des selles. Leur action est prolongée au niveau de l’intestin.

Où trouve-t-on les fibres ? dans quels aliments les trouver ?

10 aliments laxatifs qui vous seront utiles…

Ils sont de loin plus nombreux qu’on ne le pense, mais voici un échantillon d’aliments laxatifs pouvant vous aider en cas transit capricieux.

 

  1. Les fruits secs :

Le champion du monde en fibres est le pruneau !

L’efficacité du pruneau n’est plus à prouver, tout comme son action positive sur l’amélioration du transit. Il se trouve sur la liste des aliments laxatifs les plus populaires. Mangez quelques pruneaux chaque jour, et vous oublierez bien souvent les désagréments liés à la constipation. À noter que le pruneau est exceptionnellement riche en fibres. On gagne donc à prendre pour habitude de le consommer régulièrement, et pas uniquement quand tout va mal. Il convient d’ajouter que l’action de la prune elle-même est aussi bienfaisante que celle du pruneau. Tous deux sont très riches en antioxydants, fer et fibres.

D’autres fruits secs ( riches en fibres) peuvent vous aider : figues sèches, abricots secs.

 

  1. Les fruits

« Une pomme par jour éloigne le médecin » dit une maxime anglaise très célèbre. Dans le cas de la constipation, la consommation fréquente de pommes vous aidera dans cette voie. Si vous essayez de perdre du poids, c’est l’aliment par excellence, car la pomme s’avère aussi être un excellent coupe-faim du fait de sa richesse en pectine. Il est souhaitable de les manger crues. Pour soigner la constipation, mangez la pomme avec sa peau (également riche en fibres). D’autres fruits, par exemple les poires, les coings, les pêches et les nectarines sont aussi de bons aliments laxatifs.

 

  1. Les céréales :

Les céréales (avoine, orge, seigle, blé) sont très riches en fibres. Les pains de seigle, les pains au blé entier, les pains multi-graines, l’épeautre sont des aliments laxatifs à connaître et apportent les glucides nécessaires pour démarrer la journée.

 

  1. Les oléagineux :

Les amandes, les graines de tournesol sont particulièrement riches en fibres pour fluidifier le transit intestinal.

 

  1. La banane

C’est un excellent laxatif si elle est consommée mûre. Elle est très riche en potassium. Le pourcentage élevé en fibres permet aussi à la banane d’améliorer le fonctionnement intégral du système digestif. Mangez-en vous-même et donnez-en à vos enfants.

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  1. Le miel

Voilà un produit qui ne mérite plus d’être présenté. Je tenais à mettre dans la liste une petite douceur. Il regorge de bienfaits. N’oubliez pas que le miel est évidemment très sucré et très calorique, et qu’il est à consommer avec modération lorsqu’on souhaite perdre du poids. C’est une bonne idée pour lutter contre la constipation si on a accès à du miel de bourdaine (plante laxative).

 

  1. Les graines de lin

Prenez des graines de lin, elles sont riches en magnésium, en Oméga-3 et en fibres. Prenez donc l’habitude de saupoudrer vos repas de graines de lin. Elles seront une alternative supplémentaire dans la liste d’aliments laxatifs de votre cuisine.

 

  1. Les légumineuses

Les lentilles, les pois chiches, haricots rouges ou blancs sont d’une richesse incroyable en fibres. A consommer régulièrement si vous avez un transit lent.

 

  1. Les agrumes

Les bienfaits des agrumes ne sont plus à démontrer. Riches en vitamine C, les agrumes sont par ailleurs d’excellents antioxydants. Orange, pamplemousse et autres sont d’une efficience sans comparaison.

 

  1. L’eau 

Tout simplement. On cherche souvent des remèdes complexes alors tout est sous nos yeux. L’eau est la seule boisson nécessaire et vitale pour l’organisme. Vous pouvez oublier toutes les autres boissons, mais pas l’eau. Bien s’hydrater régulièrement dans la journée (ainsi que l’activité physique) permet d’améliorer le bien-être et indirectement le transit. Les eaux riches en magnésium peuvent fournir une aide supplémentaire lorsque le transit est ralenti.

 

 

 

Les aliments laxatifs sont nombreux, nous n’avons que l’embarras du choix. Ils fournissent une aide simple et souvent efficace en cas de constipation.

Mangez sainement, variez les aliments et les types de fibres vous aideront à réguler naturellement votre transit.

 

Régime sans sel : 6 astuces incroyables

regime sans sel

regime sans sel

On le sait et on ne cesse de le répéter : le sel en excès est notre ennemi pour vivre longtemps. Hypertension, risques cardio-vasculaires, surpoids ou obésité… l’apport en masse de sel peut provoquer des désastres dans l’organisme. D’où l’importance d’avoir un régime sans sel ou plutôt « sans trop de sel », c’est-à-dire de réduire fortement les apports Lde sel dans l’alimentation. Le sel est vital, il nous en faut un peu, mais la tendance actuelle avec notre alimentation est au tsunami des apports en sel : on en trouve partout pour le goût et la conservation des aliments. Sans tomber dans le régime sans sel strict réservé des situations médicales bien particulières (insuffisance cardiaque ou rénale etc.), il faut trouver le bon équilibre comme toujours !

Alors comment diminuer notre consommation de sel ? Par quoi le remplacer ? Découvrez dans cet article « régime sans sel : 6 incroyables astuces ».

 

  1. Cuisinez maison

Les produits industriels regorgent de sel… même pour des plats sucrés, le sel est utilisé pour donner du goût. Les recettes industrielles (pain, plats préparés, charcuterie etc.) font exploser la quantité de sel ingéré par jour. Lorsqu’on consomme peu de produits industriels, on fait baisser considérablement la quantité de sel absorbée quotidiennement. Cuisinez vous-même, vous mettrez certainement beaucoup moins de sel dans votre cuisine.

 

Pour un plat ou une soupe industrielle, compter 2g de sel (le bon dosage quotidien en sel : 6 à 8g maximum /jour ).

 

Et même si vous cuisinez par exemple plus facilement le weekend. Vous pouvez toujours surgeler ce qu’il vous reste en portions pour le consommer plus tard.

 

Faites votre vinaigrette maison.  Voici une recette de vinaigrette classique qui contient 20% de sel en moins :

  • 1 c. à café de moutarde à l’ancienne
  • 2 c. à soupe d’huile d’olive
  • 1 c. à soupe de vinaigre de vin
  • Poivre et ail selon votre goût

 

Incorporez de l’oignon et de l’échalote pour rehausser le goût dans vos plats et bénéficier de tous leurs atouts santé : l’oignon comme les échalotes regorgent de vitamines A, B et C et de sels minéraux. L’oignon est surtout l’une des meilleures sources en sélénium – un antioxydant qui retarde le vieillissement cellulaire. N’hésitez pas à consommer l’oignon aussi bien cru que cuit. Bref, c’est un concentré de vitalité !

 

Veillez aussi à ne pas saler vos eaux de cuisson mais utilisez des subterfuges : épices, aromates…

 

  1. Régime sans sel : Misez sur les épices

C’est l’astuce n°2 du régime sans sel : utilisez à la place du sel des épices qui offrent en plus plein de bénéfices santé. Nous n’en mangeons pas assez, elles doivent rentrer dans notre quotidien alimentaire. En voici quelques exemples :

  • Le curry : c’est un antioxydant – de par le manganèse et le magnésium qu’il contient – il aide à lutter contre le vieillissement cellulaire et favorise la digestion.
  • Le poivre ou son équivalent comme le piment d’Espelette  par exemple relèvera votre plat. En plus, le poivre possède des vertus digestives en réduisant les flatulences. Mais ce n’est pas tout : il est un atout « minceur » ( moins de graisses stockées et plus de calories brûlées)
  • Le curcuma : « épice aux mille vertus », elle est à la fois riche en anti-oxydants, en vitamines C et E. Elle a aussi des propriétés anti-inflammatoires et aide à lutter contre les infections.
  • Le gingembre : très utilisé en médecine chinoise, il fait l’objet de nombreuses études scientifiques dans le traitement du cancer (effet anti-inflammatoire et anti-oxydant).
  • Le paprika, le cumin, le gingembre : essayez, testez les épices, vous aurez des bonnes surprises.

 

 

  1. Régime sans sel : exploitez la richesse des herbes aromatiques

Les plantes aromatiques ne sont pas en reste pour réduire au maximum votre consommation de sel.

  • Le thym possède pas mal d’atouts : il a des vertus antiseptiques naturelles et digestives. Il permet aussi de stimuler l’appétit et de lutter contre la fatigue. On l’utilise donc seul, par exemple pour les grillades, en tisanes ou sous la forme d’herbes de Provence.
  • La cardamome : elle possède des propriétés digestives et permet de limiter les nausées et vomissements. Ajoutez 1 à 2 graines pilées à du thé ou à des viandes un peu fades pour les relever.
  • L’ail : rehausseur de goûts sans égal, il est très riche en anti-oxydant et améliore non seulement la circulation sanguine, mais fait aussi baisser la tension artérielle et réduit le taux de mauvais cholestérol.
  • L’aneth : vous pouvez la broyer et l’ajouter à une vinaigrette pour en faire exploser la saveur !
  • Le persil : très riche en vitamine C, mais aussi en calcium, en fibres, en vitamine B9, en fer et en antioxydants, c’est votre allié cuisine et santé !
  • La coriandre : etc .

 

Vous pouvez tester chacune de ces épices en les ajoutant en petite quantité à vos plats : rien de tel qu’un poulet au curry ou des carottes au cumin pour vous faire oublier le goût du sel !

 

Vous pouvez aussi employer des mélanges d’épices tout préparés qui sont également pratiques et faciles à utiliser et à conserver.

régime sans sel

  1. Régime sans sel : Ne mettez pas de sel sur la table

La première chose à faire, ne mettez pas de salière sur la table. Prévoyez de ne pas saler les repas avant de les servir. Ensuite, n’ajoutez pas de sel dans votre assiette : vous pourrez ainsi maîtriser la quantité de sel dans vos plats.

 

Même chose au restaurant, ne commencez pas par saler votre plat : demandez d’abord au serveur si le plat a déjà été assaisonné, avant de vous ruer sur la salière.

 

  1. Régime sans sel : utilisez des substituts

Si vraiment vous ne pouvez pas vous passer du goût du sel, il existe un certain nombre de substituts.

 

Le sel diététique ou allégé est une bonne option car il a un goût proche du sel de table : sa composition est différente (1/3 de chlorure de sodium et 2/3 de chlorure de potassium), il provoque moins de rétention d’eau mais sa quantité ne doit pas être doublée pour autant.  C’est le piège classique des allégés !

 

Le gomasio, vous connaissez ? Originaire du Japon, ce condiment est composé de sel marin et de sésame grillé, il contient aussi parfois des algues. Dans les faits, sa teneur en sel est très réduite et ne dépasse pas 10 % et son goût est agréable. La seule chose, c’est qu’il ne se cuit pas. Réservez-donc le gomasio aux salades et les vinaigrettes.

 

Les algues sont aussi une bonne option. En France, on trouve une dizaine d’algues dans le commerce. Les algues les plus courantes sont la laitue de mer (algue verte), la dulse et la nori (algues rouges), mais aussi le kombu, le haricot de mer et le wakame (algues brunes).

 

Les algues regorgent de minéraux et de vitamines, elles sont riches en fibres et en protéines, avec tous les acides aminés essentiels. Les algues vertes comportent du magnésium, calcium et fer. Quant aux algues rouges, ils contiennent de fortes teneurs en protéines et vitamine A. Enfin, les algues brunes sont riches en fibres et en iode.

 

Vous pouvez les consommer sous forme de paillettes. Saupoudrez-les sur votre plat et vous pourrez rehausser le goût légèrement iodé.

Le sel fou est un mélange d’épices et d’aromates moins connu qui nous vient de l’île de Ré. Il a très bon goût et une très faible teneur en sel. Il est composé de poivre gris, rouge et blanc, de coriandre, des baies roses, du thym et du romarin. Vous pouvez aussi vous faire votre propre sel fou en mélangeant vos propres herbes aromatiques.

 

  1. Régime sans sel : changez vos habitudes

 

Vous aimez grignoter ? Et si vous le faisiez en baissant la note salée.

Voici quelques exemples :

  • Prenez garde aux plats marinés, panés ou fumés car ils contiennent en général beaucoup de sel
  • Privilégiez le popcorn nature au popcorn sel et beurre. Si vous voulez du goût à vos popcorns, ajoutez du curry ou du romarin
  • Choisissez des amandes, des graines de tournesol et des noix par exemple qui sont peu ou pas salées
  • Consommez moins de charcuteries qui sont bourrées de sel : remplacez le saucisson et les chips de l’apéro par des légumes dips : tomates, radis, carottes ou concombres coupés avec une sauce au fromage blanc par exemple relevée d’herbes de Provence ou de citron. En plus, vous allez faire du bien à votre balance !

 

Vous l’avez compris : le sel en excès n’est pas votre allié, loin de là ! Sans passer par un régime sans sel strict mais en remplaçant le sel par des aliments sains, vous pouvez justement booster votre santé et votre énergie. Vous réduisez votre risque d’avoir de l’hypertension artérielle et si vous en avez, vous aidez votre corps à réduire votre tension naturellement.

 

Alors, vous commencez quand à réduire votre consommation de sel ? Et si on démarrait dès aujourd’hui ?

Repas équilibré du soir : 10 erreurs fatales à ne pas commettre

repas equilibre du soir

Nous mangeons trop en soirée alors que le repas équilibré du soir doit être synonyme de légèreté ! Et nous ne mangeons pas assez aux autres repas (petit-déjeuner, déjeuner). Avec cette règle simple, beaucoup de gens peuvent perdre du poids sans faire d’effort. En positionnant mieux nos apports caloriques dans la journée on peut éviter des mauvaises surprises lors de la pesée.

Nous verrons dans cet article les erreurs fondamentales à ne pas commettre concernant le repas du soir si on ne veut pas s’exposer à la prise de poids, néfaste pour la santé.

Pourquoi prendre un repas équilibré le soir ? Pour éviter de prendre du poids, et pour avoir faim quand il le faut. Le dîner doit absolument être le plus léger possible si on souhaite avoir un poids stable.

C’est une des causes les plus fréquentes de prise de poids : le repas du soir se transforme trop souvent en un repas très généreux et parfois cela tourne au déluge calorique !

C’est un grand classique : le petit-déjeuner est pris à toute vitesse le matin, ou pas pris du tout ou encore parfois remplacé par un café et une cigarette, on mange rapidement un sandwich le midi, et la faim se fait sentir dans l’après-midi.  L’estomac met en route les signaux de détresse et l’envie de manger devient extrêmement intense et difficilement contrôlable. Le bal calorique du soir peut commencer : feu à volonté !

Bien souvent on n’attend même pas que le repas soit prêt, on grignote un morceau de pain et de la charcuterie ou un bon morceau de fromage. Puis on enchaîne avec une assiette beaucoup trop consistante, le plus souvent des pâtes et une pièce de viande, puis pain avec fromage, un dessert bien sucré et parfois le feu d’artifice avec un grignotage supplémentaire devant la télévision. On prend quelques kilos année après année. Dix ans plus tard, on devient obèse sans s’en rendre compte.

Pour avoir un repas équilibré le soir : il y a 10 erreurs à ne pas commettre :

  • Ne pas oublier de prendre un petit-déjeuner :

Prendre un vrai petit-déjeuner est essentiel pour mettre le corps en éveil. Il est prouvé que prendre un petit déjeuner augmente les capacités cérébrales (mémorisation, capacités de concentration, vigilance dans la matinée). Votre organisme a besoin après le jeûn nocturne, d’énergie et surtout de glucides. Pour ne pas avoir de coup de fatigue en fin de matinée lié à une hypoglycémie, le petit-déjeuner doit contenir une source de glucides (pain, céréales…), une source de calcium ( lait, yaourt, fromage, fromage blanc), une source de vitamines (fruit frais, jus de fruit) et une boisson pour un apport d’eau (café,thé, lait, jus de fruit).

Si vous n’avez pas faim le matin, c’est bien souvent que votre repas du soir a été trop important, ou que vous l’avez pris trop tard. Essayez de manger plus léger le soir suivant, l’appétit sera plus important le matin. Si vous vous levez très tôt le matin et que vous n’avez pas faim au réveil, essayez de boire et manger quelque chose au réveil puis complétez par une collation (quelques biscuits, un fruit et quelques amandes) avant 10h. Le petit-déjeuner doit représenter environ 20 à 25% des besoins caloriques et nutritionnels de la journée.

  • Ne pas délaisser le déjeuner : Prendre un vrai repas le midi ! Votre déjeuner est le repas le plus important sur le plan physiologique. Il doit représenter environ 40% des besoins caloriques et nutritionnels de la journée.

 

  • Ne pas trouver refuge systématiquement dans le sucre : Si besoin une collation en fin d’après-midi est possible mais pas systématique. Certaines personnes éprouvent le besoin de manger en fin d’après-midi. Dans ce cas, mangez un fruit et des amandes ou un fruit associé à un yaourt.

 

  • Ne pas oublier d’avoir une activité physique dans la journée : L’activité physique et le sport ont de multiples bienfaits sur la santé : réduction du risque de mortalité globale, réduction du risque cardiovasculaire, réduction du risque de cancer. C’est le remède anti-vieillissement à ne surtout pas râter et permet d’améliorer votre humeur, votre bien-être général. En cas d’activité physique, on brûle des calories, ce qui est toujours bon à prendre lorsqu’on souhaite garder la ligne ou perdre du poids.

 

  • Ne pas faire de régime si vous ne prenez pas de petit déjeuner le matin, et si vous grignoter le midi. Débutez par prendre un petit déjeuner copieux, un vrai repas le midi et un repas équilibré du soir léger, vous perdrez des kilos sans faire le moindre effort. Utilisez la physiologie, le fonctionnement naturel de votre corps pour réguler votre poids.

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  • Eviter le surdosage calorique du soir : Un repas équilibré du soir est un dîner léger.

Si on veut garder un poids stable ou en perdre, il faut manger léger le soir. Le soir, après le dîner, c’est le repos le plus souvent, le sommeil. On consomme très peu d’énergie lorsqu’on dort (on brûle entre 80 – 90 Kcal/heure). Toutes les graisses et les sucres consommés en excès le soir seront conservés dans le corps en gras au lieu d’être brûlés en calories.

Le repas équilibré du soir ne doit pas dépasser 35% de l’apport calorique journalier sous peine d’être stocker en gras en cas d’écart. Comptez 700Kcal pour le dîner si vous êtes une femme, ou 900Kcal si vous êtes un homme.

 

  • Ne pas associer pain et féculents le soir : si vous mangez des légumes et des féculents, ne mangez pas de pain. Si vous mangez un morceau de pain, ne mangez pas de féculent.

 

  • Evitez au maximum l’association du pain et du fromage le soir. Le fromage pourra être mangé le matin ou le midi puisque c’est un aliment utile sur le plan nutritionnel. Le soir, si on associe le pain au fromage, les glucides du pain entraînent une sécrétion d’insuline qui fera rentrer les graisses du fromage dans le corps.

 

  • Evitez le feu d’artifice de sucres en fin de repas : Finissez le repas par un fruit (au lieu d’une pâtisserie au chocolat). L’excès de sucres en fin de journée favorise le stockage des graisses la nuit.

 

  • Enfin cédez avec la manière ! En cas d’envie irrésistible de grignoter après le repas du soir, prenez une tisane et deux carrés de chocolat noir en évitant les paquets de biscuits.

 

Vous avez compris le principe du repas équilibré du soir : un repas léger suffit. Il est préférable d’avoir des apports caloriques en journée (matin et midi), quand on brûle plus de calories car on est actif (activité physique ou sportive ; travail physique et intellectuel) afin d’éviter de stocker des graisses en excès et de prendre du poids. Le principe est assez simple et surtout très efficace. Reste à appliquer ce conseil simple et efficace pour garder la ligne tout en prenant un repas équilibré le soir. Manger léger le soir vous aidera à avoir un très bon sommeil.

 

A vous de jouer, vous connaissez les critères d’un bon repas équilibré du soir.

Bon appétit !